Fibrome : Causes, Symptômes, Risques
et Traitement avec le STC30
Les fibromes utérins sont
des tumeurs bénignes (non cancéreuses) situées sur la paroi de l’utérus, de
façon isolée ou en groupe.
Un fibrome utérin est une
tumeur bénigne (non cancéreuse) se développant à la surface ou à l’intérieur du
tissu musculaire de l’utérus. Cette affection est fréquente et favorisée
par certains facteurs tels que l’hérédité ou les hormones.
Les fibromes apparaissent généralement chez les femmes
après l’âge de 30 ans.
Comme symptômes on a des saignements menstruels
abondants, toutes sortes de douleurs et des envies fréquentes d’uriner. De
plus, les fibromes occasionnent parfois des problèmes de fertilité. Il semble
que le fibrome ait pour origine une seule cellule de la paroi utérine qui subit
une mutation génétique et commence à se multiplier de façon incontrôlée. Par la
suite, les oestrogènes (hormones féminines) agissent sur ce
fibrome et stimulent sa croissance.
Un fibrome de taille imposante peut diminuer la fertilité en
bloquant les trompes de Fallope ou en empêchant la nidation de l’embryon. Des
problèmes pendant la grossesse.
Les femmes enceintes qui ont des fibromes courent
davantage de risques de faire une fausse couche et d’accoucher prématurément.
Ce risque dépend toutefois de la taille et de la
localisation du fibrome dans l’utérus;
la compression des organes voisins. Si
le fibrome est volumineux, il peut comprimer la vessie, le rectum ou les
uretères, qui sont les canaux qui relient les reins à la vessie. Cela peut être
source de douleurs et de complications plus ou moins graves (rétention d’urine,
constipation, etc.).
Rappels anatomiques

Situé au niveau du petit bassin, en arrière
de la vessie et en avant du rectum, l’utérus est un organe creux, de forme
triangulaire d’une dizaine de centimètres de haut sur 5 centimètres de large.
Le col utérin, la partie la plus inférieure de l’organe, débouche sur le vagin.
Le corps utérin qui représente la partie la plus volumineuse de l’utérus
destinée à recevoir l’ovule fécondé est relié par ses extrémités supérieures
droites et gauches aux trompes utérines.
La paroi utérine est constituée de 3
couches :
·
La muqueuse utérine appelée
« endomètre » représente la paroi interne de l’utérus ;
·
La couche intermédiaire musculaire appelée
« myomètre » ;
·
La séreuse utérine est la paroi externe de
l’utérus.

Les fibromes utérins sont les tumeurs
bénignes les plus fréquentes dans la population féminine. Ils toucheraient en
effet 1 femme sur 3. le fibrome
représente même la première cause d’hystérectomie (ablation de l’utérus) avant
la ménopause.
Un fibrome, aussi appelé « fibromyome »,
est une tumeur bénigne touchant le muscle utérin. Selon son emplacement au
niveau de l’utérus, on distingue 3 types de fibromes : intramuraux,
sous-séreux et sous-muqueux.
La majorité des fibromes sont intramuraux.
Ils se développent à l’intérieur du muscle utérin et peuvent aboutir à
la formation d’une petite bosse au niveau de la paroi de l’utérus. Plus
rarement, les fibromes peuvent être sous-séreux en se développant dans la
cavité pelvienne et formant une saillie à la surface de l’utérus. Les plus
exceptionnels sont les fibromes sous-muqueux qui occupent la cavité utérine et
grossissent à l’intérieur de l’utérus.
La taille des fibromes est
très variable allant du microscopique à plusieurs centaines de grammes. Leur
nombre l’est aussi. En effet, le développement d’un seul fibrome est possible
mais le plus souvent plusieurs apparaissent en même temps. Enfin, dans la
majorité des cas, les fibromes forment une masse au sein du muscle utérin ou
parfois ils sont seulement reliés au muscle par un pédicule (fibromes
pédiculés).
Les fibromes utérins sont fréquents chez
les femmes âgées de 30 à 50 ans. Ils peuvent cependant, parfois se former plus
précocement lorsqu’il existe des facteurs héréditaires dans la famille.
L’origine exacte de l’apparition de ces
petites masses est encore inconnue à ce jour. Une certitude : leur
développement est influencé par les hormones. Notamment, les oestrogènes qui
sont des hormones produites par les ovaires et intervenant dans le
développement sexuel féminin. Ainsi, selon les périodes de vie d’une femme, les
fibromes peuvent :
·
Se développer lors d’une grossesse lorsque
le taux sanguin d’oestrogènes est le plus élevé ;
·
Ou au contraire régresser après la
ménopause, période où le taux d’hormones chute (sauf en cas de prise de
traitement hormonal de substitution).
Il semblerait que certaines populations de
femmes soient plus concernées par les fibromes utérins :
les femmes d’origine africaine ou des Caraïbes, celles en surpoids ou qui n’ont
jamais eu d’enfants.
Symptômes
Dans la majorité des cas, les fibromes
utérins ne sont responsables d’aucun symptôme. Ils sont alors
découverts de manière fortuite à l’occasion d’un examen gynécologique de
routine ou lors d’une échographie ou autre examen d’imagerie médicale effectué
pour une autre raison.
Dans les cas où il existe des symptômes, ce
sont :
Des saignements entre les règles
(métrorragies) ;
Des saignements abondants lors des menstruations
(ménorragies) ;
Une sensation de froid, plus ou moins douloureuse, dans
le petit bassin ;
Des envies fréquentes d’uriner ;
La sensation d’une masse dans le ventre ;
Une constipation ;
Des douleurs lors des rapports sexuels.
Les fibromes peuvent parfois être
découverts lors d’un bilan pour anémie (conséquence des saignements
abondants) ou infertilité.
L’évolution des fibromes utérins est
variable et imprévisible. Par ailleurs, les symptômes lorsqu’ils existent
peuvent être plus ou moins présents selon la période hormonale.
Sans traitement, diverses complications peuvent
apparaître :
Anémie à cause des saignements ;
Compression de la vessie (envie fréquente d’uriner), du
rectum (constipation), des veines de la région pelvienne (hémorroïdes) ou des
nerfs (douleurs) ;
Douleurs pelviennes brutales dues à la torsion d’un
fibrome pédiculé ou à la destruction d’une partie du fibrome ;
Fausse couche ou accouchement
prématuré en cas de grossesse.
Après la ménopause et sans traitement
hormonal de substitution, les fibromes régressent.
Lors d’un examen gynécologique de routine,
ou en présence de symptômes, le médecin va évaluer le volume, la forme et la
consistance de l’utérus. En cas de suspicion d’un fibrome, il peut recommander
une échographie-doppler afin de confirmer le diagnostic. Cet examen permet de
préciser le nombre, la taille et la localisation des fibromes. Parfois, le
médecin demande d’autres examens comme une IRM ou une hystéroscopie.
Traitement
Il semble que le traitement ne permet de
supprimer définitivement un fibrome de l’utérus. En revanche,
certains médicaments permettent d’apaiser les symptômes, de neutraliser les cellules
à l’origine pour stopper l’évolution et
de régénérer ces cellules.
Le traitement envisagé dépend de l’âge de
la patiente et de son désir de grossesse, de l’importance des symptômes, des
caractéristiques des fibromes et de l’état de santé de la patiente. Il existe
en effet différents types de traitement : l’abstention, les médicaments,
la chirurgie ou l’embolisation.
Il est préférable de s’abstenir de tout
traitement lorsque le fibrome utérin n’entraîne aucun symptôme. Une simple
surveillance est suffisante.
Lorsque le médecin opte pour un traitement
médicamenteux, il existe plusieurs molécules :
Des progestatifs afin de diminuer les
saignements pendant et entre les menstruations. Ils peuvent être prescrits par voie
orale ou par voie intra-utérine (stérilet) ;
Des analogues de la gonadolibérine (GnRH) sont
recommandés lorsque le fibrome est volumineux ou à l’origine d’une anémie. Ils
sont généralement utilisés avant un traitement chirurgical visant à retirer les
tumeurs ou en attendant la ménopause ;
L’ulipristal est utilisé de
façon séquentielle (par cycle de 3 mois maximum) en cas de symptômes modérés à
sévères chez une femme en âge de procréer. Il peut également être utilisé en
traitement préopératoire ;
Certains médicaments (par exemple l’acide tranexamique)
diminuant les saignements ;
Des antalgiques pour diminuer les douleurs.
Le traitement chirurgical est nécessaire
lorsque le fibrome est à l’origine d’hémorragies ou de douleurs importantes,
d’infertilité ou lorsqu’il est trop volumineux. Il existe deux techniques
principales : la myomectomie (retirer les fibromes en conservant l’utérus)
ou l’hystérectomie (ablation de l’utérus). Quelle que soit la méthode choisie,
le chirurgien peut intervenir par coelioscopie, laparotomie (en ouvrant la
paroi abdominale) ou par voie naturelle (via le vagin).
L’embolisation artérielle est une
alternative à la chirurgie lorsque la patiente n’a pas de désir de grossesse.
L’opération vise à obstruer les vaisseaux alimentant le fibrome par injection
de produit sous contrôle radiologique. Le fibrome qui n’est plus alimenté,
régresse progressivement, ce qui permet d’atténuer les symptômes.
Un arrêt de travail allant de 3 à 8
semaines est prescrit par le médecin.
Après une opération, il est
conseillé :
·
D’éviter de porter des charges lourdes
(plus de 5kg) pendant environ 3 semaines ;
·
D’être abstinent sexuellement pendant 6
semaines en cas d’hystérectomie ;
·
D’être vigilant sur les déplacements
(déconseillés les 2 semaines suivant l’intervention) ;
·
D’attendre le feu vert du médecin avant de
reprendre une activité sportive.
Complément à base
de cellules souches végétales
Tout en suivant et
prenant le traitement médicamenteux du médecin, il faut l’associer
à des compléments riches en cellules souches végétales comme le produit STC30 de
SUPERLIFE car Les cellules souches végétales vont régénérer les cellules
défaillantes ce qui va arrêter la progression ou le développement du fibrome puis
peu à peu disparaitre dans l’utérus sous l’effet non seulement des cellules souches
mais aussi de l’antioxydant SOD présent dans le STC30.
En effet l’antioxydant SOD va neutraliser
la cellule de la paroi utérine qui a subi la mutation génétique et qui se
multiplie de façon incontrôlé (cellule à l’origine du fibrome) puis les
cellules souches venant de STC30 vont la remplacer et mener l’activité naturelle de cette cellule dans l’utérus
afin de ne pas faire des fibromes.
Nous vous encourageons à utiliser le STC30
de SUPERLIFE.
Pour avoir recours au produit STC 30 afin de traiter le
fibrome, veuillez contacter vite
M. DIBY, Distributeur et Administrateur Agrée Superlife
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