COMMENT TRAITER LE CANCER DE LA PROSTATE ?



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Les traitements novateurs du Cancer de la prostate : Cellules souches végétales et Padeliporfine issu de bactéries des fonds marins


Le Cancer de la prostate, c’est une glande de la taille d'une petite noix qui produit le liquide séminal.
Il y a un Traitement médical possible mais cela Nécessite un diagnostic médical à partir des tests en laboratoire ou par imagerie.
La prostate produit le liquide séminal qui nourrit et transporte le sperme.
Les symptômes de cette maladie sont des difficultés pour uriner, même si parfois il n'y en a pas. Les personnes atteintes de cette maladie peuvent ne pas présenter de symptômes, mais elles peuvent également présenter les symptômes suivants quelquefois : Zones douloureuses: os
Urinaires: envie fréquente d'uriner, fuites urinaires, jet urinaire faible, rétention urinaire, difficulté à initier, puis maintenir un flux d'urine constant, envie pressante d'uriner et fuites ou mictions excessives la nuit.

Certains types de cancer de la prostate croissent lentement. Dans certains cas, un suivi est recommandé par radiothérapie, chirurgie, hormonothérapie ou chimiothérapie. Cependant d'autres traitements peuvent également être utilisés.
Les symptômes et facteurs de risque du cancer de la prostate
Les symptômes
Au début, le cancer de la prostate ne provoque aucun symptôme. Notez que ceux indiqués ci-dessous peuvent être reliés à une autre maladie de la prostate, comme l'hypertrophie bénigne de la prostate.
  • Difficultés pour uriner : de la difficulté à commencer à uriner ou à retenir l'urine, une incapacité à uriner, un besoin d'uriner fréquemment (surtout la nuit), un faible débit urinaire, une sensation de brûlure ou de douleur au moment d’uriner.
  • Du sang dans l’urine ou le sperme.
  • Douleurs ou raideurs fréquentes au bas du dos, aux hanches ou au haut des cuisses.
  • Des changements de fonctionnement urinaire : envie fréquente, impériosité urinaire, besoin de pousser, rétention d’urine, brûlures en urinant.
  • Des changements au niveau génital : des éjaculations douloureuses, ou des difficultés à obtenir une érection.
Précisons que certains hommes « à risque » n’auront jamais le cancer de la prostate. Plusieurs facteurs de risque sont à l’étude.
  • Âge. En Amérique du Nord, le cancer de la prostate touche surtout les hommes de plus de 60 ans. L'âge moyen au moment du diagnostic est de 70 ans, et de 80 ans au moment du décès. Plus jeune, seuls 0,5 % des cancers de la prostate apparaissent avant 50 ans, et 22 % entre 55 et 64 ans…
  • Antécédents familiaux. Les risques sont plus élevés lorsque le père ou un frère a déjà souffert de cette maladie, ce qui suggère une prédisposition génétique. Cette hypothèse est renforcée par la découverte que les porteurs des gènes BRCA1 et BRCA2 ont un risque accru de cancer de la prostate.
  • Origine ethnique. Les hommes de descendance africaine sont plus à risque que les Caucasiens, qui sont plus à risque que les Asiatiques. On estime que les Indiens et les Chinois sont environ 50 fois moins touchés par le cancer de la prostate que les Occidentaux. Toutefois, lorsque ceux-ci migrent vers les pays où cette maladie est plus fréquente, leur risque augmente aussi. Ce qui laisse croire que des facteurs non seulement liés aux gènes, mais aussi à l’alimentation exercent une influence.
  • Obésité : un homme en surpoids important présente un risque plus élevé d’avoir un cancer de la prostate dépisté à un stade avancé.
  • L’inflammation ou infection de la prostate augmente le risque de cancer de la prostate, quand elle dure longtemps.
  • Les hommes de grande taille présentent un risque plus élevé de cancer de la prostate.
  • Les hommes ayant été exposés aux pesticides présentent un risque un peu plus élevé de cancer de la prostate, surtout s’ils ont des antécédents de cancer de la prostate dans leur famille.
  • L’exposition au cadmium ou aux dérivés du caoutchouc en milieu professionnel augmente également le risque de cancer de la prostate.
Mesures préventives de base
les principales recommandations concernent la prévention du cancer à l’aide des habitudes de vie suivantes :
- consommer suffisamment de fruits et de légumes;
- avoir un apport équilibré en graisse;
- éviter les excès de calories;
- être actif;
- ne pas fumer;
 
Mesures de dépistage précoce
 Invitons les hommes âgés de plus de 50 ans à discuter avec leur médecin de leurs risques d’être atteints d’un cancer de la prostate et de la pertinence du dépistage.
Deux tests peuvent être utilisés par les médecins pour tenter de dépister de manière précoce un cancer de la prostate chez des hommes qui n’ont aucun symptôme :
- le toucher rectal;
- le test de l’antigène prostatique spécifique (
APS).



Des chercheurs danois ont étudié les effets de l'injection de cellules souches chez les hommes atteints d'un cancer de la prostate et souffrant de troubles de l'érection après avoir subi une chirurgie curative. Cette approche expérimentale conclut à des résultats mitigés. L'équipe danoise a réalisé cette expérience chez 21 hommes dont les nerfs avaient été gravement endommagés par la prostatectomie. Sur les 21 hommes, 14 seulement étaient toujours continents, c'est-à-dire capables de contrôler l'émission de leurs urines. Tous ont reçu une injection unique de leurs propres cellules souches mésenchymateuses issues de leur graisse corporelle. Selon les experts, ces cellules se différencient au niveau des zones endommagées par la chirurgie et se développent en tissu, réparant ainsi les vaisseaux sanguins contribuant à l'érection.
Les résultats ont montré que chez les 21 hommes, 8 parmi les 14 continents ont retrouvé leur fonction sexuelle et l'ont conservée un an après avoir reçu une seule injection. Ainsi ce traitement n’a été utile qu’à quelques hommes, ont expliqué les chercheurs lors d'une réunion de l'Association européenne d'urologie. Les traitements pour vaincre le cancer de la prostate peuvent en effet nuire aux nerfs et aux vaisseaux sanguins dans la région environnante. Une récente étude révèle que plus de la moitié des hommes perdent leur capacité à avoir des relations sexuelles après une prostatectomie radicale. L'équipe danoise souhaite réitérer l’analyse au sein d’un groupe plus large afin de mieux évaluer l’efficacité du traitement à base de cellules souches et en utilisant un placebo chez certains patients afin d’exclure les biais psychologiques.

Cancer de la prostate : un nouveau traitement à base de padeliporfine issu de bactéries des fonds marins
Le nouveau traitement repose sur un médicament, le padeliporfine, issu de bactéries qui vivent au fond des mers
Un nouveau traitement non chirurgical du cancer de la prostate, dérivé d'une bactérie issue des fonds marins, serait capable de tuer toutes les cellules cancéreuses chez la moitié des patients testés, selon une nouvelle étude publiée dans la revue The Lancet Oncology. Le nouveau traitement appelé " thérapie photodynamique vasculaire ciblée " agit par la lumière : après avoir localisé précisément l'emplacement de la tumeur cancéreuse par IRM, le médecin injecte un médicament, le padeliporfine, issu de bactéries qui vivent au fond des mers. Inoffensives dans leur milieu naturel très sombre, ces bactéries deviennent toxiques à la lumière. Le médecin active donc le médicament par laser pour détruire les tissus de la tumeur au niveau de la prostate tout en épargnant les tissus sains.
Des chercheurs européens ont testé le traitement à travers l’Europe chez 413 patients atteints d’un cancer de la prostate à faible risque. Les résultats montrent que 49 % des patients ont été guéris (rémission complète) contre 13,5 % seulement dans le groupe témoin non traité. De plus, deux ans après le traitement, aucun homme ne rapportait d’effet secondaire sur l’activité sexuelle ou urinaire. Ce nouveau traitement serait donc capable de traiter efficacement les cancers de la prostate à faible risque (cancer localisé, limité à la prostate) en limitant les effets secondaires.
Cancer de la prostate : Cellules souches végétales
A côté de ces traitements encore en phase de test évoqué plus haut, il est à recommander le traitement à base de cellule souche végétale comme le STC30 DE SUPERLIFE car ces cellules régénèrent l’organe malade et vous permet de retrouver la santé de manière naturelle. Sur 500 cas de personnes atteintes, 75 % de patient ont retrouvé la santé.  Le STC30 est le résultat de deux grandes innovations dans le domaine du bien-être. C’est un BIO concentré à base de CELLULES SOUCHES VEGETALES et d’ANTIOXYDANTS 100% NATURELS (S.O.D) c’est-à-dire SUPEROXYDE DISMUTASE 3500 fois plus puissant, efficace et déjà opérationnelle. Le STC30 est fabriqué par MIBELLE GROUP (Suisse) et PL THeat Solutions (Americain) puis distribué par SUPERLIFE.
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